| 14h55 | Mise à jour : 16h10 Par Sudouest.fr |
Un député UMP veut brouiller les téléphones portables à l'école
Le parlementaire UMP Philippe Meunier invite le ministre de l’Éducation nationale à songer à l'installation de brouilleurs GSM dans les établissements scolaires
La multiplication des portables à l'école " tend à perturber de plus en plus le déroulement de la vie scolaire", selon le député (Photo PQR / Le Midi Libre)
Dans une question écrite recueillie sur le site Internet de l'Observatoire citoyen de l'activité parlementaire (nosdeputes.fr), le député UMP Philippe Meunier invite le ministre de l'Education nationale à songer à l'installation de brouilleurs GSM dans les établissements scolaires afin d'éviter que les téléphones portables ne soient "utilisés à mauvais escient par les élèves". C'est ce que rapporte le site Internet numerama.com
L'élu de de la 13e circonscription du Rhône considère le mobile à l'école comme une source d'ennuis. Outre l'envoi et la réception de messages et appels pendant les cours, les téléphones portables "peuvent aussi être utilisés pour tricher pendant les tests", écrit Philippe Meunier.
Lors de l'examen 2012 du baccalauréat, le ministre de l'Education nationale avait annoncé le déploiement de détecteurs de signaux dans les salles d'examen pour repérer d'éventuels tricheurs et empêcher téléphones portables, smartphones et autres tablettes tactiles de communiquer avec l'extérieur.
Mais la présence d'antennes-relais à proximité des écoles ne rassure pas les parents, qui craignent une dégénérescence de leurs enfants à force d'être exposés aux ondes, rappelle numerama.com. Des procédures judiciaires ont été lancées dans certaines villes, comme à Lyon où une installation se trouve sur le toit d'une école. La justice a jusqu'à présent donné raison à l'opérateur.
L'élu de de la 13e circonscription du Rhône considère le mobile à l'école comme une source d'ennuis. Outre l'envoi et la réception de messages et appels pendant les cours, les téléphones portables "peuvent aussi être utilisés pour tricher pendant les tests", écrit Philippe Meunier.
Mais la présence d'antennes-relais à proximité des écoles ne rassure pas les parents, qui craignent une dégénérescence de leurs enfants à force d'être exposés aux ondes, rappelle numerama.com. Des procédures judiciaires ont été lancées dans certaines villes, comme à Lyon où une installation se trouve sur le toit d'une école. La justice a jusqu'à présent donné raison à l'opérateur.
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